Interview d'un personnage
- Antonio José Bolivar : En recevant votre lettre, j’ai vite arrêté une des mes lectures passionnantes. Je n’en croyais pas mes yeux. J’ai quitté ma cabane en Bambou et pris le premier navire qui m’a emmené jusqu'à vous.
- Cela résume alors que vous êtes heureux de recevoir ce prix. Vous avez vécu longtemps à El Idilio, vous avez lu des livres décrivant les belles villes de Paris, Venise et autres. Qu’avez-vous ressenti à l’entré de la ville de Barcelone ?
- J’étais tout excité de savoir que j’allais découvrir une des villes décrite par un des romans que j’ai lu. Les rues étroites, les immeubles et les voitures m’ont ébloui. Vous savez, j’étais tel un enfant qui vient de découvrir un monde inconnu. Je contemplais les moindres détails, rien ne m’a échappé. Le soleil m’avait manqué. Contrairement a El Idilio il fait très bon ici.
- On est heureux alors de vous avoir offert l’opportunité de découvrir une des plus belles villes d’Espagne. Sachant que le docteur Rubincondo Loachamin est la personne en qui vous faites le plus confiance à El Idilio, êtes-vous toujours en contact avec lui ?
- Le docteur Rubincondo Loachamin est un très bon ami, et c’était grâce à lui comme vous le savez que je me procurais mes romans d’amour. Il assure toujours cette fonction. On est devenu bien plus que de simples amis. Après mon retour de la chasse, nos relations se sont amplifiées et souvent, je restais à ses cotés de longues heures pour débattre au sujet d’un des romans qu’il m’avait ramené.
- On espère que votre relation dure encore plus