Intro conclusin plus premiere partu
Partie 3: Ce poème comporte plusieurs hallucinations qui renforcent le sentiment d'enfermement et de folie. Le poète à d'abord l'impression de voir des araignées répugnantes, qui représentent l'enferment du poète, ce qui est accentuer par le fait que c'est « un peuple » v.11 d'araignées. Après l'hallucination visuel, vient l'hallucination auditive; qui est représenter par « des cloches ». Cette hallucination est caractérisée par sa soudaineté, avec le groupe de mots « tout à coup »v.13. Cette hallucination est une personnification des cloches, car elles « sautent avec furies »v.13. Les cloches sont employées ici de façon inhabituel, car, normalement, elles sont synonymes de paix. Après cet épisode hallucinatoire, le poète se retrouve dans le néant, qui est exprimé par les privatifs « sans » et « ni »v.17. On remarquera aussi l'emploi du tiret au début du vers 17, qui est un tiret dit baudelerien, ce qui exprime une pause très forte, qui doit marquer le silence de la mort, qui est aussi symboliser par le mot « corbillards »v.17. L'espoir est, dans ce poème, cité sous forme d'une allégorie, car il est « vaincu »v.19, par l'allégorie de l'angoisse, qui « plante son drapeau noir »v.20, ce qui montre que ce poème est un tableau du désespoir.
Conclusion: Pour conclure, ce poème est celui qui montre la dégradation la plus forte de l'esprit du poète, il peut être mis en