Ruben Cuervo
2nde 4 Littérature et société

Critique littéraire

En 2008 une élève de Claude Monet âgé d’a peine 13 a obtenu le prix Clara. Cette nouvelle : la route du là-bas évoque un thème classique en Europe : L immigration clandestine. L’histoire de Maïmouna nous touche avec sa vie mêlé de tristesse et d’habitude qui font la joie de cette dernière. Mais la famine et la misère font fuir Maïmouna et sa famille en Espagne pour espérer une vie meilleure. Ainsi elle quitte son village Malien en camion, traverse la mer grâce à un passeur où Fatiah (sa sœur) meurt noyé durant une tempête marine. Arrivée en Espagne elle découvre une société « grise » dans laquelle elle s’adaptera facilement. A l’école elle fera de nombreuse rencontre a la fois sociale et artistique comme par exemple son amie Louisa qui jouera un rôle important dans l’adaptation de cette Malienne a cette nouvelle société inconnue. Une dernière intrigue est développée qui nous fait craindre le pire pour la famille : après avoir immigré on les croit sur le point d’être expulsé. Mais heureusement nous apprenons dans l’épilogue que la famille de Maïmouna ont obtenu leur papiers.
Cette histoire contemporaine et classique n’est pas situable temporellement. Ici l’auteur reprend les problèmes majeur de notre société qui son l’injustice et la crainte du rejet. Mais aussi les cause principale de l’immigration : la pauvreté, la misère, la faim, la recherche du bonheur dans les pays développé. . L’histoire est dans l’ensemble bien écrite, l’auteur possède un grand talent surtout vu son âge, ses mots sont précis, son niveau de langue impressionnant, elle utilise de nombreuses figures de style (anaphore, métaphore, comparaison, personnification, énumération…).
Cependant cette histoire possède a mon gout trop d’incohérence, par exemple le fait qu’elle voit son amie Donaba dans ses rêve