Jan lobel
Il eut un geste de dédain. "Vous pouvez vous inscrire à la Olenski pépinière. Il y a un véritable travail. Personnes beaucoup trop peu."
Le lendemain, j'allais à l'horticulture. Elle se trouvait tout près à la mer(au lac), un terrain assez étendu avec une maison d'habitation blanche entre deux vieux hêtres rouges, avec de longs massifs et en accouple à des serres. Sur un massif se trouvait une grande fille luxueuse. Elle coupait les feuilles pourries et fanées des têtes de chou rouge qui étaient accumulées à une colline qui miroitait comme le métal confisqué(ferré). Elle travaillait rapidement et tranquillement, et elle rappelait à un bel et fort cheval, comment ainsi se trouvait avec sa(leur) peau saine brune et les cheveux rougeâtres denses. (Page 8) De temps en temps, elle appelait là avec une voix agréablement profonde, un peu rugueuse quelque chose sur le massif aux serres, où petit, du vent le gars courbe basané cueillait de mûrs melons jaunes. A son(à leur) appel, il se redressait chaque fois, faisait entendre(écouter) Oui étendu, en même temps irrité et ravi et regardait fixement de ce côté-ci pendant un moment à celui-ci avant qu'il continue le travail. La fille était Julia Olenski. J'avais vu si déjà parfois dans l'endroit avec un grand chapeau de paille clair sur la tête et sa(leur) marche(passage) pesant, insouciante. Elle avait environ vingt ans. Ils ont été détenus pour les personnes timides de l'ONU fier car elle ne parlait que lorsque cela est nécessaire. Quand elle m'a vu venir maintenant, elle leva les yeux rapidement, passa sa main en arrière les cheveux de son front et me regarda froidement. Mais ses yeux brillaient humide et avide de la vie. Je lui ai dit pourquoi je suis venu. Elle a tourné brusquement la tête sur le Rotdornhecke. << Vous devez aller voir Mme Olenski>>Elle a dit court.