(alinéa)Le Barbare est une personne qui s’oppose aux règles d’une époque et d’une société. Il est perçu comme inhumain, non conforme et d’une grande cruauté. Cette image de « barbare » est souventl’objet de clichés délivrés par certains peuples dit « civilisés ». Au XVIème siècle, les Humanistes de le Renaissance ont une foi concernant l’être humain. Ce mouvement a incité de nombreux artistes àen savoir plus sur les peuples « sauvages » et à voyager en terre inconnue. Ils nous ont permis d’avoir une nouvelle vision sur ces peuples barbares, qui, jusqu’à cette époque, nous étaient inconnus.(alinéa)Mais alors, en quoi le fait d’être confrontésaux peuples barbares, nous fait réagir sur notre perception de la vie ?(alinéa)Dans un premier temps, nous parlerons de notre vision sur ces peuples évoqués comme « primitifs » ; enfin nous évoquerons la remise en question sur le bonheur et le bon fonctionnement de la vie.(alinéa)Notre vision sur d’autres peuples ne peut être objective puisque nous avons tendance, de manière instinctive, à nous identifier à une civilisation lorsque nous traitons celle-ci.(alinéa) En effet, l’omniprésence des préjugés dans nos propos, nous amènent à penser que les peuples différents des nôtres, nous sontinférieurs. Certains artistes, comme Jean de Lery, brisent les stéréotypes et nous dévoilent les réelles valeurs des peuples sauvages. Dans Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, Lery brise lafausse image du Sauvage et nous montre le peuple des Tupinambas tels qu’ils sont vraiment. Dans son texte, il nous fait part de leur coutume en évoquant l’acte de la scarification, leur couleur...(alinéa)Le Barbare est une personne qui s’oppose aux règles d’une époque et d’une société. Il est perçu comme inhumain, non conforme et d’une grande cruauté. Cette image de « barbare » est souventl’objet de clichés délivrés par certains peuples dit « civilisés ». Au XVIème siècle, les Humanistes de le Renaissance ont une foi concernant l’être humain. Ce