Kabuli kid
'L'enfant de Kaboul' frappe par son réalisme et sa précision
le quotidien afghan est si dramatique et incroyable qu'il en semble finalement fictif
parler du problème des enfants des rues qui n'ont ni écoles, ni moyens ; ou encore de l'impuissance d'institutions telles que l'orphelinat ou les ONG
Véritable touche-à-tout, Barmak Akram s'illustre dans une multitude de domaines, de la musique au cinéma, en passant par les arts plastiques. Réfugié politique afghan, il arrive en France en 1981. Bouillonnant de curiosité, il étudie alors à la Fémis, aux Beaux-Arts et aux Arts-Déco.