Dans ce texte, Karl Marx, socialo-communiste allemand énonce un jugement selon les doctrines matérialistes sur la moralité. Pour Marx, l’application des doctrines matérialistes sur la moralité aboutit aux modèles socialiste ou communiste. Le problème étudié par cet extrait est de définir ce qu’est la vraie morale pour un penseur matérialiste. Ce que veut démontrer Marx ici est que si l’homme est formé par les circonstances, il faut former les circonstances humainement. C'est-à-dire que puisque la morale de l’homme dépend de son vécu, il faut que son vécu ne comporte pas d’injustices.
Tout d’abord, Marx affirme que si l’homme déduit toutes connaissances et moralité par son vécu, alors il faut organiser sa vie de façon à ce qu’il puisse être moralement bon et cultivé des sentiments humains envers les autres hommes, prendre conscience de ces droits et de ces devoirs. C'est-à-dire que l’homme agit par rapport à ce qu’il a vécu. Par exemple, une personne mal éduqué éduquera ses enfants de la même façon qu’il en a été pour lui. C’est son expérience qui va agir sur ses actions futures. Marx affirme aussi que l’homme se libère de l’ignorance grâce à l’expérience accumulé par son vécu et qu’il est nécessaire de l’éduquer à ce qui est bien.
Ensuite, pour Marx, la moralité se traduit par le fait que l’intérêt de chacun doit être l’intérêt de tous et vice versa. On y devine facilement la présentation du modèle socialiste dans le fait que l’intérêt de chacun est l’intérêt de tous. L’ex URSS, était bâtit a travers un modèle imposant que l’intérêt collectif primait sur l’intérêt individuel. Le modèle communiste se traduit par le fait que l’intérêt de l’état est l’intérêt de tous. En d’autre terme, il arrive a la conclusion que la traduction de la moralité selon la doctrine matérialiste est le socialisme ou le communisme.
Enfin, Marx pense que l’homme ne peut pas s’épanouir et acquérir de valeurs morales et humaines dans les sociétés bâtis sur la répression de l’individu