Albert Camus, L’étranger1. Biographie· 7 novembre 1913 (Algérie) – 4 janvier 1960 (France)· Albert Camus : philosophe, romancier, dramaturge, essayiste, écrivain et journaliste français· Mouvement de l’humanisme et du théâtre de l’absurde· Connu pour ses idées humanistes fondées sur la prise de conscience de l’absurdité de la condition humaine et prises de position politiques· Il n’a pas connu son père et passe son enfance avec sa mère en Algérie· Santé (tuberculose) : ne permet pas d’accéder à …afficher plus de contenu…

Il invitera Meursault et Marie à passer une journée chez son amie Masson, qui possède un cabanon au bord de la mer. Ils s’y rendront tous les 3 pour le midi, puis, après manger, allèrent se promener sur la plage. Durant le promenade, Ils rencontreront 2 arabes, dont l’un est le frère de la maitresse de Raymond. Une bagarre éclate durant laquelle Raymond est blessé d’un coup de couteau. Il confie son revolver à Meursault, qui, plus tard, retournera se promener sur la plage mais cette fois ci, seul. Il re-rencontrera l’arabe qui en veut à Raymond. L’arabe va sortir son couteau tandis que Meursault appuie sur la gâchette du revolver et le tue avant de tirer encore 4 balles dans le corps de sa victime. La seconde partie, consacrée au procès de Meursault, montre que ce dernier reste indifférent et les juges sont surpris en apprenant qu’il n’a pas pleuré l’enterrement de sa mère. A la fin de son procès, le président …afficher plus de contenu…

me· Caractéristiques : existence dépourvue de tout sens, sentiment d’être étranger au monde qui nous entoure, incompréhension devant la violence du monde, absurdité du monde, désarroi de l’homme· Dans le roman :· Meursault indifférent face à ce qui l’entoure, réactions absurdes, image du citoyen du XXème siècle qui n’a pas de réponse à l’absurdité du monde· La mort ne lui fait plus rien était omniprésente durant la guerre· Ecriture blanche et tonalité neutre dimension détachée· Malheur (dernier mot 1ère partie) et haine (dernier mot 2ème partie) Sentiments présents durant la guerre· Impuissance devant les choix injuste de la justice : fatalité de son sort, rien n’aurait pu