La Bruyère Du souverain ou de la République
Ce texte commence directement par l'objet du sujet "la guerre", aucun coutrournement . On a , un discours tragique du point de vue où l'on place la guerre comme une force supérieure à l'Homme provoquant fatalité . Récit argumentatif avec entre autre l'utilisation de procédé tel que l'énumération au ligne 3 et 6 , où l'auteur donne un rythme ternaire à son récit afin d'y mettre un petit rythme haletant , et afin de montrer à son lecteur que les mots et arguments qui critiquent ce fléau ne manquent pas . Et ceux, grace au registre polémique au service de l'art de persuader qui cherche l'adhésion du lecteur à la thèse présentée . L'auteur par le biai du registre polémique s'adresse directement à la raison, ce qui donne un constant souci de l'implication du lecteur au texte et à la thèse .On a dailleurs un évaluatifs péjoratifs de la thèse qui soutient ce registre , " on la toujours vu remplir le monde de veuves et d'orphelins " , ainsi qu' un lexique moral mélioratif de la vertue, beauté et de la liberté à l'éphigie encore une fois de la ligne 3 , "ta vertu, ta pudeur, ..." qui . Ainsi le lecteur est ici comme dans les textes suivants, sans cesse ciblé à faire appel à sa sensibilité . On a de plus un registre oratoire qui vient s'ajouter au registre polémique, qui manifeste très clairement et de facon significative l'appel à l'émotion : les rythme ternaire, les images saisissantes et les arguments coléreux mobilisent l'attention du lecteur ou de l'auditoire . De plus La Bruyère , utilise un lexique affectifs, pour encore une fois faire appel à la sensibilité de son auditoire : "faire périr les frère", là un vocabulaire de fraternité fais de plus rapproché le moraliste de son récit, afin de donner à son lecteur la sensation d'une vrai implication de l'auteur . "Malheur déplorable", vocabulaire de souffrance, encore une fois affectifs car il s'en précède tout un lexique de peine dédié