La bêtise humaine
Oui, parce que ce n’est pas l’épanouissement d’une société juste que ceux là recherchent ; ils n’en ont rien à faire .
Que des millions d’hommes, femmes et enfants se trouvent soudain au bord de l’abîme de la misère parce que leurs emplois s’envolent, qu’importe ! La rentabilité des capitaux prime .
Partout , ce ne sont que des plans de gestion économique qui se traduisent pas des fermetures d’usines, des mesures de licenciements massifs, par des baisses de salaires pour ceux qui conservent leur emploi et par des attaques insupportables sur les retraites, donc par plus de misère.
Pourvu que ni l’Etat, ni les syndicats, ni les candidats à un travail rémunéré permettant de vivre dignement s’en mêlent , les conditions idéales pour faire fructifier les capitaux sont réunies lorsque rien ni personne n’est en mesure de dicter des conditions quelles qu’elles soient.
Que les hommes puissent être pressurisés de toutes les manières, que l’Etat se couche, que la moral et l’éthique se taisent, que la planète s’épuise et se meure, telle est la volonté suprême des forces qui dominent le monde aujourd’hui.
Ces forces dominantes, relayées par ses médias aux ordres et par quelques suiveurs aveugles qui pérorent ci et là, s'évertuent à justifier toutes ses politiques économiques par les prétendues "nécessités impératives" d'une "mondialisation inévitable » fabriquée, de même qu'elle cherche à se dédouaner des drames quotidiens qu'engendre son système en nous offrant en pâture des boucs-émissaires locaux et de peu d'envergure ou des politiques du passé qui n’auraient pas réussi.
Ce n'est pas lorsque, bien léchée et bien