LA COMEDIE DE MOLIERE
Dans cette pièce, nous retrouvons le comique de mots avec les hyperboles « un guet-apens », « un assassinat », le comique de situation par le quiproquo entre Harpagon et Valère. Harpagon accuse Valère d’avoir volé sa cassette de louis d’or et celui-ci avoue tout en croyant qu’il l’accuse d’aimer sa fille, et le comique de caractère avec l’avarice d’Harpagon, qui tient plus à son argent qu’à sa propre fille. Nous avons une caricature très poussée de l’avare car Harpagon utilise des mots tels que « un trésor », « mon bien », « mon sang », « mes entrailles »,…
Pièce 2 : Tartuffe, Molière.
Nous pouvons retrouver le comique de situation par le renversement de situation, l’effet de surprise, produit par l’arrestation inattendue de Tartuffe qui voulait faire arrêter Orgon, et le comique de caractère avec Tartuffe qui est un imposteur.
Pièce 3 : Monsieur de Pourceaugnac, Molière.
Nous sommes en présence d’un comique de mots avec les deux suisses qui déforment les mots par leur accent. Nous avons une opposition entre Mr de Pourceaugnac et les suisses car leur langage est très différent : Mr de Pourceaugnac utilise un langage plutôt soutenu alors que les suisses utilisent un langage familier, un comique de situation car Mr de Pourceaugnac est travesti et un comique de gestes car Mr de Pourceaugnac est tiré violemment par les deux suisses.
2) Pièce 1 : L’avare, Molière.
Dans cet extrait, nous retrouvons une comédie de caractère car Molière se moque de l'avarice. En effet, Harpagon croit que Valère a volé sa cassette de louis d’or, il veut donc lui faire avouer sa faute. Pour parler de son argent, il emploi des mots tels que « mon sang, mes entrailles », ce qui, au premier abord, nous ferait plutôt penser qu’il parle de son enfant, d’où le quiproquo qui s’installe entre Valère et Harpagon. Molière nous fait une caricature de l’avare et ainsi, une satire de la société.
Pièce 2 : Tartuffe, Molière.
Dans cet extrait, nous sommes en