La condition de vie des femmes au XVIIIe Si cle
*Le journaliste fait entrer dans la pièce les deux femmes avec lesquelles il va s'entretenir a propos de la conditions de vie des femmes au XVIIIe Siècle. C'est autour d'un table en épicéa que le journaliste assis en face de la jeune Cunégonde et de La Vieille commença l'interview*
Journaliste :
La vieille, notre cher Voltaire vous appelait ainsi, alors puis-je continuer ainsi ?
La vieille: Il n’y a aucun problème, c’est mon nom.
Journaliste : Alors, vous et Mlle Cunégonde allez nous parler aujourd’hui de la condition féminine au XVIIIe siècle et des différentes façons dont vous avez été traitées au cours de votre vie nous aurons l'avis d'une personne avec plus d'expérience et l'avis d'une jeune femme du XVIIIe siècle celles qui assureront la relève. Nous allons commencer avec vous, La Vieille qui avez connu des épreuves infranchissables.
Que pouvez-vous nous dire sur votre condition en tant que femmes dans le XVIIIe siècle ?
La Vieille :
Vous savez monsieur.. beaucoup de femmes ont été traitées de la même manière et beaucoup de femmes se plaignent de nos condition de vie « hélas ! Vous n'avez pas éprouvé des infortunes telles que les miennes. » , on ne choisissait pas notre mari ni notre futur, on nous mariaient de force a 18 ans au premier venu pour qu'au lendemain de notre miteuse nuit de noce nous nous retrouvons enceinte. Le premier d'une longue liste de mouflets que nous devons nourrir, élever et j'en passe.. Nous ne savons pas pourquoi nous devons nous marier a 18 ans ni pourquoi nous devons avoir une dizaines d'enfants pour les plus chanceuses mais c'est comme ca malheureusement nous sommes des femmes nous devons rester fortes et souffrir en silence. « Je voudrais savoir lequel est le pire, ou d'être violée cent fois par des pirates nègres, d'avoir une fesse coupée, de passer par les baguettes chez