La controverse de valladolid (1992)
Ceux-ci débattent pour la liberté des Indiens, l'un soutien le fait qu'ils sont des Hommes de même nature que les Espagnols et qui ont une âme immortelle et par conséquent le massacre des Indiens par les conquistadors est totalement injustifié ( Las Casas).
L'autre soutien le fait que les Indiens n'ont pas d' âme, qu'ils sont un peuple qui est né pour être dominé ce qui justifie pleinement la colonisation des terres et l'esclavage des Indiens par les conquistadors.(Sépulvéda) Mais comment Jean Claude Carrière nous montre le caractère paradoxal de la mission évangélisatrice? Nous étudierons dans un premier temps un théâtre de l’absurde et par la suite une dénonciation de la cruauté des espagnoles.
Axe 1: Un Théâtre de la cruauté. Ainsi, la dimension du cruelle est omni-présente dans la pièce.
Cette scène théâtrale n’est pas en accord avec le récit historien qui est fait, mais qui a une réactualisation dramatique avec les cruautés des génocides perpétués. Cette cruauté est accentué par un témoignage oculaire marqué par «j’ai vue» (ligne 4) qui authentifie, et martèle sont propos, le procès se prolonge et se rattache à une situation d’actualité.
Ce témoignage est vérifier et justifier quand a sa véracité avec les noms propres des lieux et des personnes évoquer «Cuba» (ligne 7), «Caonao» (ligne 8), «capitaine Narvaez» (ligne 9), «A Cholula, au Mexique, et à Tapeaca» (ligne 45). Une éloquence