la couche d'ozonne
Selon le lieu on considère la qualité de l'ozone comme :
le « bon ozone » présent dans la couche stratosphériqueN 2 : bon, car il nous protège des rayons UV-C (ultraviolet) et de leur effets ; le « mauvais ozone » présent dans la couche basse de l'atmosphèreN 3 : mauvais, car c'est celui que toutes les espèces animales, donc l'homme, sont amenées à inhaler et qui présente, selon sa concentration, une certaine toxicité (voir Normes de qualité de l'air).
En l'absence de cette couche d'ozone, la vie n'aurait été possible que dans les océans[réf. nécessaire], à une profondeur suffisante de la surface des eaux (les UV ne pénétrant qu'en surface). Ce fut le cas au cours de l'éon Archéen, lorsque l'atmosphère de la Terre était dépourvue de dioxygène (et donc d'ozone).
À la fin des années 1970, des recherches scientifiques en Antarctique ont mis en évidence une diminution périodique de l'ozone dans cette région polaire. Ce que l'on a appelé le « trou de la couche d'ozone ». Il se forme au printemps dans l'Antarctique (à la fin de la nuit polaire) et s'agrandit pendant plusieurs mois avant de se