La dépénalisation de l’avortement
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Ce qui fut considéré comme un crime et punis par le loi dans les années 70-80 et début 90 par une grande majorité de la population est devenue maintenant un sujet ordinaire et banal. La dépénalisation de l’avortement a vu le jour dans notre pays après de nombreuses manifestations et contestations de la part de nombreuses institutions et personnes. Nous allons d’abord vous parlez de l’influence de l’Eglise, ensuite de la dangerosité des I.V.G clandestins. Ainsi que le rôle de la femme et en dernier lieu le suivi psychologique. Envisageons d’abord, l’influence de l’Eglise. Au 20ème siècle l’Eglise jouait toujours un rôle important et le nombre de catholiques très pratiquants ne diminuait pas. L’Eglise arrivait toujours a imposé son idéologie à travers les catholiques qui étaient présents dans les différents partis politiques de l’époque. Pour le clergé et les différentes personnes influentes , l’avortement était un pêché , un crime car pour eux l’embryon est déjà un être humain. Ils étaient opposés à l’avortement et s’arrangeait toujours pour bloquer et annuler les différentes lois en faveur de la dépénalisation de l’avortement. Actuellement l’Eglise garde les mêmes opinions à ce sujet mais ils influencent nettement moins qu’a l’époque car le nombre de pratiquants est en constante diminution.
Ensuite, avant la dépénalisation de l’avortement ,les femmes y avaient recours mais dans la clandestinités. Ces I.V.G clandestins étaient considérées comme illégale. Les femmes qui avaient recours aux I.V.G et les médecins qui les pratiquaient, pouvaient être poursuivis par la justice. Ces I.V.G clandestins se pratiquaient dans des conditions psychologiques et d’hygiènes abominables et dangereuses pour la santé. Les techniques rustiques employées pouvaient provoquer d’importantes lésions et complications. Des femmes se retrouvaient aux urgences avec des infections, des perforations, des hémorragies allant parfois jusqu’ aux décès de certaines d’entre