La haine, le film.

619 mots 3 pages
«La haine», un réel succès
Dès les premières minutes du film «La haine», j’étais persuadée que celui-ci allait être ennuyant. Cependant, au cours de la projection je me suis rendue compte qu’il devenait de plus en plus intéressant. Ce film français en noir et blanc sorti en 1995 et réalisé par Mathieu Kassovitz nous parle d’une réalité de la vie quotidienne : les gangs de rue. Saïd Taghmaoui, Hubert Koundé et Vincent Cassel, les trois acteurs principaux, interprètent des rôles de malfaiteurs. Le très bon scénario de Mathieu Kassovitz et Saïd Taghmaoui est captivant tout au long du film.
L’histoire ce déroule le lendemain d’une nuit d’émeutes provoquée par le fait qu’un policier ai gravement blessé Abdel Ichaha, un des amis des trois jeunes d’une banlieue de Paris: Vinz, Hubert et Saïd. Ceux-ci, ayant des tempéraments complètement différents, vont être en contradiction les uns avec les autres tout au long du récit. Vinz a soif de vengeance de la mort de son ami tandis qu’Hubert veut seulement quitter la cité sans s’attirer de problèmes. Saïd intervient en tant que médiateur entre ces deux acteurs qui s’affrontent constamment.
Je dois avouer que j’ai bien aimé le film. Le premier aspect qui m’a vraiment plu c’est le fait que celui-ci est en noir et blanc. En effet, cette particularité le rend plus pertinent, car nous avons moins tendance à nous concentrer sur les décors et les costumes, car ceux-ci ne se démarquent pas les uns des autres. Nous pouvons donc mieux canaliser notre attention sur le scénario du film et mieux comprendre le déroulement de l’histoire.
Le scénario m’a également charmé. Le fait que les scénaristes Mathieu Kassovitz et Saïd Taghmaoui aient réussi à intégrer des scènes drôles à l’histoire ont donné un côté comique au film malgré toutes les scènes tragiques. Ceux-ci permettaient donc de dédramatiser la situation actuelle dans laquelle les trois acteurs étaient prisonniers. Par exemple lorsque Saïd et Vinz marchaient dans les rues de la

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