la joie
Mais Pauline fait apparaître un défaut : la jalousie. Alors que la fille d'une amie décédée de Mme Chanteau, Louise, arrive et que l'attention de toute la famille, Lazare compris, se porte sur elle, Pauline a une crise de colère contre Mathieu, le chien, et le frappe avec brutalité. Lazare, ensuite, décide, sous l'influence de Pauline, d'entamer des études de médecine, mais alors, il quitte le domicile. Pauline, malgré alors de faibles connaissances en médecine, est intéressée par la matière, car elle a une conception très altruiste de la vie et veut donc aider les gens. Pauline sert à aider M. Chanteau qui est souvent atteint par de vives douleurs dues à sa maladie, la goutte. Elle se fait enseigner par Mme Chanteau des connaissances jugées primordiales, notamment le catéchisme. Elle s'intéresse à la médecine et au corps humain, malgré le fait que Mme Chanteau refuse de lui dire certaines choses, notamment l'existence de la menstruation. Zola montre alors son côté favorable à l'éducation, à travers le personnage de Pauline qui tient grief à sa tante de ces cachotteries. Zola écrivait d'ailleurs, dans La Tribune, le 29 novembre 1868 :