La littérature et le mal
La Littérature et le Mal
Auteur Georges Bataille
Genre Essai
Pays d'origine Drapeau de la France France
Éditeur Éditions Gallimard
Date de parution 1957
Nombre de pages 232 (poche : 224)
ISBN 978-2-07-032607-5
Chronologie
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La Littérature et le Mal est un essai de Georges Bataille publié en 19571
Sommaire [masquer]
1 Présentation
2 Auteurs analysés
3 Citations
4 Éditions
5 Notes et références
6 Voir aussi
6.1 Articles connexes
6.2 Liens externes
Présentation[modifier | modifier le code]
À travers cet essai, Georges Bataille, se fondant sur la thèse selon laquelle le Mal et la littérature sont fondamentalement inséparables, étudie huit auteurs célèbres (Emily Brontë, Baudelaire, Jean Genet...) dont il considère que leurs récits sont empreints de Mal et d'une culpabilité certaine. Il tend ainsi à démontrer que la littérature, qui a pour rôle d’ébranler le lecteur et d’illustrer la prédisposition de l’homme pour le Mal, ne saurait atteindre son but si les écrivains s'éloignaient du Mal[réf. souhaitée].
Auteurs analysés[modifier | modifier le code]
L'ouvrage est divisé en huit chapitres, préalablement publiés sous forme d'articles dans la revue Critique, consacrés à huit auteurs différents :
Emily Brontë
Charles Baudelaire
Jules Michelet
William Blake
Sade
Marcel Proust
Franz Kafka
Jean Genet
Citations[modifier | modifier le code]
« La littérature est l’essentiel, ou n’est rien. Le Mal – une forme aiguë du Mal – dont elle est l’expression, a pour nous, je le crois, la valeur souveraine. Mais cette conception ne commande pas l’absence de morale, elle exige une « hypermorale » » (Avant-propos de La littérature et le mal).
Éditions[modifier | modifier le code]
La Littérature et le Mal, Editions Gallimard, coll. « Blanche »,Paris, 1957, 232 p.
La Littérature et le Mal, éd. rev. et augm., Folio (no 148), coll.