La littérature ne mermet pas de marcher mais elle permet de respirer
Introduction
Le concept de littérature a régulièrement été remis en question par les écrivains comme par les critiques et les théoriciens et ce, depuis la fin du 19ème siècle. Cela continue aujourd’hui, les plus grands spécialistes tentent encore et toujours de définir son rôle ainsi que son utilité. Cette recherche les a amenés à débattre d’une question à laquelle nous tenterons de répondre: la littérature nous permet-elle métaphoriquement de respirer en dépit de nous mouvoir ? Face à cette interrogation, nous tenterons d’apporter la réponse suivante : La littérature, parfois détournée de son but premier, est indispensable à l'homme s'il se soucie du rôle qu'il joue sur Terre.
Problématique
Nous tenterons tout d’abord de définir l’expression littérature comme étant l’ensemble des œuvres écrites portant la marque de préoccupation esthétique. Par ailleurs, nous entendrons par le terme de permission, le don des moyens de réaliser quelque chose, d’accomplir un objectif. De plus, nous ajouterons que par le verbe « marcher », il faut entendre une tendance, ici rejetée, à rejoindre un but ou un résultat. Enfin, nous préciserons que le terme « respirer » correspond au cycle indéfini permettant à l’homme de vivre. Notre interrogation se portera donc sur la question suivante : La littérature, malgré son manque d’utilité et son usage détourné, est-elle vitale à l’homme ?
Thèse
Considérons avant tout l’aspect vital de la littérature. Plusieurs idées peuvent facilement appuyer cette thèse, parmi celles-ci : l’absence ou non de littérature divise les hommes ; ou encore, cette dernière nous permet d’accepter de vivre dans notre monde actuel, de donner un sens à notre vie. Ce qui divise les hommes au plus haut point tant socialement qu’intellectuellement ne relève pas de l’évidence. Ce ne sont pas leurs cultures, leurs fortunes, leurs origines ou encore leurs places dans la société qui les