Les lois sont fondamentales. Elles sont fondées sur un idéal moral auquel notre devoir nous oblige à obéir et que nous devons suivre afin de vivre dans une société. Ces règles sont mise en place afin d’éviter le chaos, le désastre que pourrait provoquer l’être humain en suivant ses propres règles et sa propre conduite, mais l’être humain est fait de telle sorte qu’il ne peut pas, toute sa vie, s’imposer des règles à lui-même pour être juste et droit. Par ailleurs, il y a des personnes comme les rebelles ou révolutionnaires qui iront à contre les lois ou qui provoqueront des manifestations pour avoir plus de libertés, ils vont donc appliquer leur liberté de penser, grâce à leurs actions, allants à l’encontre de la justice et des règles mise en place. De plus, nous avons une conscience qui peut aussi nous indiquer un chemin, car elle implique la possibilité de faire des choix. En effet, si je peux me représenter en train d’agir, si je suis capable de me saisir comme le sujet de mon action, je suis alors en mesure de sélectionner des voies différentes dans mon existence en y imprimant ma volonté. Cet exemple caractérise donc la liberté, c'est-à-dire la possibilité d’opérer des choix qui reposent sur une action volontaire. Ainsi, sommes-nous des Hommes libre de faire ce qui nous semble bon de faire sans être contraints de suivre des lois rédigés par des personnes dites « supérieurs », qui dirigent notre monde. Si l’homme a des libertés, il en est conscient et si il est doté d’une conscience c’est qu’il est doté d’une morale : La morale peut-elle entrainer l’homme a ne pas dépasser les limites de ses libertés imposés par la loi ? Mais la morale d’une personne n’est elle pas différente pour chacun ? La morale d’une personne pourrait elle donc être plus ou moins puissante qu’une loi ? On peut aussi se questionner sur les limites et les dérives possibles de la faculté morale. Dans nos libertés pouvons-nous nous fixer des limites raisonnables ou l’homme est-il