La mondialisation

I. Introduction

( Extension de l’économie de marché et extension de l’économie capitaliste, vers un K libéral comme imposé par des acteurs et qui tendent à représenter cette ( vers un K libéral, comme un modèle d’organisation des économies, des $, qui aurait vocation à l’universalité.

Ce qui est nouveau ce n’est pas le K, comme le montre Fligstein « Mythes et réalités de la M ». Il montre que l’existence d’échanges économiques internationaux n’est pas une chose nouvelle car ils apparaissent dès le début du 20ème, même s’il y a accélération ces dernières années.
( Ni le K, ni l’internationalisation des échanges ne suffisent définir ce phénomène.

Certains acteurs promeuvent un modèle, celui de l’E K et les ( vers un modèle de K libéral, qui serait débarrassé le plus possible des contraintes de la protection sociale. Ces acteurs militent donc très activement à travers ( instances, pour que les $ ( vers un K libéré des entraves de la $ sociale, et ils invoquent des lois naturelles de l’économie. Ces lois reposent sur une construction darwiniste du monde.
Cela lutte passe aussi par le politique, à travers :
Un T idéologique
Un T de conquête des institutions économies internationales qui vont produire et prescrire aux états de normes macroéconomiques internationales, même supranationales.

Textes et analyses montrant comment ces acteurs se sont historiquement imposés avant d’être à même d’imposer un discours hégémonique, à l’œuvre dans toutes les institutions internationales. Comment se sont-ils débrouillés pour occuper une telle place ?
( Cela permettra de mettre en avant les relations entre le T idéologique et le T de conquête des institutions.
Dimension historique construite et normative de la mondialisation.

La globalisation de l’économie qui opère une redistribution de la division internationale du T, a des effets directs sur les E des pays industrialisés et que dans ce sens là, elle contribue de manière décisive à la