user icon

La parabole l'enfant prodigue

548 mots 3 pages
Montre plus
Un homme avait deux fils, dont le plus jeune dit à son père : “Mon père, donne-moi la part du bien qui me doit échoir.” Ainsi, le père leur partagea son bien. Et peu de temps après, ce plus jeune fils ayant tout amassé, s'en alla dehors dans un pays éloigné, et il y dissipa son bien en vivant dans la débauche.
Après qu'il eut tout dépensé, il survint une grande famine en ce pays-là ; et il commença à être dans l'indigence. Alors il s'en alla, et se mit au service d'un des habitants de ce pays-là, qui l'envoya dans ses possessions pour paître les pourceaux. Et il eût bien voulu se rassasier des carouges que les pourceaux mangeaient ; mais personne ne lui en donnait. Etant donc rentré en lui-même, il dit : Combien ya-t-il de gens aux gages de mon père, qui ont du pain en abondance ; et moi je meurs de faim ! Je me lèverai, et m'en irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme l'un de tes domestiques. Il partit donc, et vint vers son père.
Et comme il était encore loin, son père le vit, et fut touché de compassion ; et courant à lui, il se jeta à son cou et le baisa. Et son fils lui dit : “Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils”. Mais le père dit à ses serviteurs : “Apportez la plus belle robe et l'en revêtez ; et mettez-lui un anneau au doigt et des souliers aux pieds ; et amenez un veau gras et le tuez ; mangeons et réjouissons-nous ; parce que mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, mais il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir.
Cependant son fils aîné, qui était à la campagne revint ; et comme il approchait de la maison, il entendit les chants et les danses. Et il appela un des serviteurs, à qui il demanda ce que c'était. Et le serviteur lui dit : “Ton frère est de retour et ton père a tué un veau gras, parce qu'il l'a recouvré en bonne santé”. Mais

en relation

  • Le chien jaune : le pommeret, le docteur michoux et jean servières
    419 mots | 2 pages

    Le Pommeret, Jean Servières et Le docteur Michoux sont trois amis qui habitent à Concarneau. Ils sont considérés comme des notables. Ils ont assez mauvaise réputation auprès des habitants de Concarneau, bien qu’on n’ose rien leur dire. Ils ont souvent pour habitude de se retrouver au….

    montre plus
  • Des pas derrière lui
    1349 mots | 6 pages

    Des pas derrière lui... Très mauvais signe... Mais qui pourrait bien le suivre au beau milieu de la nuit , dans cette rue étroite dans le fin fond du port ?….

    montre plus
  • Ecriture d'un journal intime sur le texte du pianniste
    882 mots | 4 pages

    Je ne connaissais encore pas les traits de son vieux visage. Je ne sais pourquoi mais j’éprouvais une sorte de compassion et de mépris pour lui, cet homme si frêle. Sans vouloir le surprendre, je lui demandais ce qu’il fabriquait là. Soudainement, il s’est retourné et j’ai pu voir son visage, marqué par le temps. Son regard semblait être terrifié.….

    montre plus
  • BIOGRAPHIE + AUTOPORTRAIT, Rembrandt
    515 mots | 3 pages

    Il a un regard pensif,on ne voit presque que sa tête ( lumière faible au dessus de lui ) car le reste du corps est dans l'ombre ( couleurs sombres ); il a donc choisit de privilégier son visage. D'après moi, il a peint son autoportrait pour fixer un moment de sa vie, car il a un regard lointain, triste, ses traits sont fatigués, il n'est pas rasé... Il parait "éloigné" de son….

    montre plus
  • Aide au repas anamyse de pratique
    380 mots | 2 pages

    Les informations dont j’ai eu besoin de savoir étaient qu’elle était non voyante et qu’elle était dépendante pour certains actes de la vie quotidienne (se déplacer, manger, se laver…). Elle voulait manger dans son fauteuil, sur sa table alors il fallait l’aider à descendre de son lit en faisant attention à l’environnement et aux obstacles alentours ce qui rajoutait une contrainte particulière avec le fait qu’elle soit aveugle. Les modalités de réalisation étaient d’être patiente, de respecter le rythme de la patiente et de favoriser son autonomie. Nous avions besoin que du plateau repas composé d’un pichet d’eau, d’un verre, des couverts, d’une serviette en papier et des différents plats. L’organisation….

    montre plus
  • points de langue
    14329 mots | 58 pages

    Un père à son fils : — Tu veux une gifle ? — Tu me prends pour un imbécile ? Un professeur à ses élèves agités : Vous avez bientôt fini ?….

    montre plus
  • Plan acte i scène 1 dom juan
    1363 mots | 6 pages

    ton maistre t'a-t-il ouvert son coeur là-dessus, et t'a t'il dit qu'il eust pour nous quelque froideur qui l'ait obligé à partir ? SGANARELLE. Non pas, mais, à veuë de païs, je connois à peu prés le train des choses, et sans qu'il m'ait encore rien dit, je gagerois presque que l'affaire va-là. Je pourrois peut-estre me tromper, mais enfin, sur de tels sujets, l'experience m'a pû donner quelques lumieres.….

    montre plus
  • thérèse raquin
    269 mots | 2 pages

    e les contemplaient à mes pieds, ne pouvant me rassasier les yeux, les écrasants de regards lourds. Aucun son ne pu sortir de ma bouche, j'étais à lafois soulagée que les meurtriers de mon fils ne fassent plus partie de ce monde. Je me sentais trahis par mes propres proches, qu'ils aillent au diableà présent. Je repensais à toute ces soirées que l'on passait à jouer ensemble, à ces repas que l'on partageait dans la joie, qui aurait cru un jour qu'untel drame arriverait? Je me sentais abandonnée, même si c'était là les cadavres des assassins de mon doux Camille, leurs corps étaient allongés sur lesol, je les regardaient me disant qu'ils avaient tué Camille pour pouvoir être heureux et vivre leur histoire, c'était la cause de la mort de mon cheret tendre fils.….

    montre plus
  • Le meilleur des mondes
    1018 mots | 5 pages

    oh ba oui --‘ .Opal on l’appelle. Donc on lui donne à mangé une fois, deux fois et ainsi de suite pi la ce qu’il fait parce qu’il est pas con lui, ba il ne part plus donc il dort la nuit dans la maison bien au chaud, penses tu nous on n’ose pas le faire sortir il est tellement mignon ( mon cul qu’il est mignon ouai ). Donc la il se dit, j’ai trouvé ma nouvelle maison….

    montre plus
  • Britannicus acte ii scène 2
    15396 mots | 62 pages

    Il y fait de sa cour inviter la jeunesse Il veut que d’un festin la pompe et l’allégresse Confirment à leurs yeux la foi de nos serments, Et réchauffent l’ardeur de nos embrassements. Il éteint cet amour, source de tant de haine, Il vous fait de mon sort arbitre souveraine. Pour moi, quoique banni du rang de mes aïeux, Quoique de leur dépouille il se pare à mes yeux, Depuis qu’à mon amour cessant d’être contraire Il semble me céder la gloire de vous plaire, Mon cœur, je l’avouerai, lui pardonne en secret,….

    montre plus
  • Enseignante
    960 mots | 4 pages

    « Apparemment que mon père n’approuve pas la répugnance qu’il me voit, car il me fuit, et ne me dit mot. » elle est sûre que son père est de son côté et qu’il approuvera son comportement. Elle donne des ordres à Lisette et lui indique ce qu’elle doit faire « c’est à vous tout doucement de me tirer d’affaire ». Elle n’accepte pas le refus de Lisette qui prétexte les ordres de monsieur Orgon.….

    montre plus
  • analyse de pratique
    609 mots | 3 pages

    Il me contourne pour aller à la recherche de la chambre de son fils et se met à crier qu’il a jamais fait de mal à son fils n’y lui ni sa femme, qu’ils l’aiment énormément et qu’ils seraient jamais capable de faire ça, que c’était un accident et que la justice se trompait, que nous n’avions pas le droit de lui faire ça, qui étions nous pour l’empêché d’aller voir son enfant. J’essaie tant bien que mal de lui expliquer que cette décision….

    montre plus
  • Hume
    368 mots | 2 pages

    Tout ce qui est à l'avantage de deux ou de plusieurs hommes si chacun accomplit sa part, mais qui perd tout….

    montre plus
  • Analyse de situation: soin relationnel
    1093 mots | 5 pages

    Son fils qui était toujours dans la chambre, un jeune homme d'une vingtaine d'années lui dit : « Mais non ne pleure pas, ce n'est pas contre toi si je ne reste pas, tu le sais bien...» Je lui demandai alors si quelqu'un d'autre pouvait passer la nuit avec elle et elle me répondit que non car son mari devait s'occuper….

    montre plus
  • anthologie poetique
    2270 mots | 10 pages

    Et les yeux m’adoraient… Quand, vers la fin des jours, De mes félicités le sort rompit le cours, Et je fus emportée au vent de la défaite. Vieille à présent, je vis ; mais, fixe en mon destin, Je vis, toujours debout sur un socle hautain, Dans l’empyrée, où l’Art….

    montre plus