La peur
Dans le Plan du Cours pour cette séance :
Introduction – la peur et l’essence de la philosophie
Exposés par groupes de 2, entre 15 – 20 minutes, sur un sujet. Un par séance seulement. Ceux qui n’auront pas d’exposé feront, à la place, une dissertation sur un des sujets des exposés, qu’il faudra rendre le jour que l’exposé passe. La note moyenne du cours sera cette note là, Exposé (ou Dissertation) + le Travail sur Table (après les vacances des Pâques) + Participation pendant les cours (la Participation compte pour un point de bonus ou un point en moins).
Le thème du Cours, c’est :
LA PEUR
Division en trois grands groupes : * Rassurer * Désespérer * Avancer
Un thème assez transversal où il y a, à la fois, la philosophie politique, des œuvres de Nietzsche, des œuvres de Heidegger, Camus, Foucault, Hobbes etc.
Au première semestre on a étudié la question sur « qu’est-ce que la Philosophie ? », maintenant on aura une introduction relativement générale de la notion de peur qui on liera avec la question du dernier semestre et de quelle manière l’interrogation sur la peur est intrinsèque à la définition même de la philosophie.
Normalement on pense la philosophie comme un exercice de réflexion critique essentiellement théorique qui nous rappelle, par exemple, le projet d’autonomie critique des citoyens, une conception plutôt théorique et argumentative de la philosophie, qui est souvent dominante. Néanmoins on a vu au premier semestre le caractère insatisfaisante de cette définition de la philosophie comme étant essentiellement exercice de l’esprit critique, art de la réflexion. Pourquoi ? D’abord parque là il n’y a rien de propre à la philosophie vu qu’en théorie toutes disciplines pour être bien faites implique une forme de réflexion, d’esprit critique, d’autonomie intellectuelle. Qu’il soit pour un mathématicien, un journaliste, etc. On peut du coup considérer la philosophie comme étant plutôt une