La peur

390 mots 2 pages
Sans peur, les passions naturelles de l’H entraînent la guerre. Seul la crainte de la punition peut permettre aux H de respecter les conventions sociales. L’H , dans son état naturel, est orgueilleux et vengeur… mais la crainte de la punition l’amène à respecter les conventions et à vivre avec un état d’esprit « ne pas faire aux autres ce que l’on aimerait pas qu’on nous fasse. ». Pour + de force et de sécurité l’H s’associe à d’autres mais il y a toujours le danger de rencontrer des ennemis plus nombreux et plus forts. Paix-> tous les H doivent être d’accord pour des intérêts particuliers et doivent observer la justice et les autres lois de la nature sans un pouvoir qui les maintienne dans la crainte. Si tous les H faisaient de même, alors aucun gouvernement ou république ne serait nécessaire car la paix existerait sans sujétion. La sécurité devrait être durable. Le problème c’est que même si on remporte une guerre il y a toujours le risque de se retrouver face à un autre ennemi. Par exemple, les amis de nos ennemis risquent de s’en prendre à nous. Comparaison de l’H avec l’abeille-> créatures politiques qui vivent en société mais pas de parole et n’agit que dans le but de l’intérêt commun. Ce qui les différencie de l’H c’est la dignité et l’honneur (H=envie et haine->guerre)+ pas d’envie de bien privé, seulement intérêt commun alors que l’H recherche la supériorité+abeilles ne voient pas de problème dans le système alors qu’il y aura toujours un H pour se croire plus sage et plus capable pour gouverner+parole/pas parole. + grande différence : les abeilles ont un accord naturel pour leur système alors que le système n’est que convention pour l’H et donc superficiel. Pour Hobbes, le seul moyen d’ériger un pouvoir commun et de mettre les H dans la sécurité et qu’ils soient satisfaits est de rassembler toutes les forces sur un ou un groupe d’hommes qui soumettra les individus à sa volonté pour le bien commun. (élu par vote).

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