La place des femmes dans la littérature courtoise
Professeure Ashley Williard
La Civilisation Française
9 Septembre 2015
La place des femmes dans la littérature courtoise
Les origines de l’idée de l’amour courtois et aussi le rôle des femmes qui restent au centre de cette tradition sont souvent controversés. Essentiellement, l’amour courtois est l’amour entre un amant, souvent un chevalier, et une femme noble qui teste son ardeur en échange pour sa faveur (Boase). Beaucoup d’historiens portent à croire que le terme « fin’amour », l’amour raffiné, comme un concept similaire (Verdon). Le terme moderne, « l’amour courtois », était popularisé par Gaston Paris en 1883 dans son article « Études sur les romans de la Table Ronde : Lancelot du Lac, II » (Boase). Quel que soit l’étymologie complexe, les idées qui sont sous l’amour courtois sont très compliqué – en particulaire, l’idée que les femmes sont central ainsi que impuissant.
En partie, il semble que l’amour courtois était un substitut nécessaire pour les aspects manquant du mariage médiéval. Georges Duby dit que tout le mariage dans le Moyen Âge était le « mariage de raison » – pour la sécurité financier, pour la continuation des lignées généalogiques par la naissance d’un héritier, et ainsi de suite (Duby 269). Normalement, l’amour romantique n’avait pas une place dans les mariages pendant l’époque. Alors, l’amour « onirique » entre la femme et son chevalier était un supplément désirable (Duby 263).
L’étendue de la relation entre la femme et son chevalier et aussi à débattre. Sans doute, l’origine de la relation reste à l’attirance physique – en l’envie charnelle (Duby 262). Cependant, il y a beaucoup de débat à propos de l’intimité entre les deux. Est-ce amour consumé ou innocent ? Souvent, le mari de la femme était le seigneur de son chevalier (Duby 262). En ce cas, peut-être l’admiration de la femme de son seigneur était un facteur de motivation stratégique en le service militaire du chevalier et en sa protection du manoir.
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