La poupée (récit fantastique)
373 mots
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La poupée (récit fantastique) Dans ma jeunesse, dans un vieux village du nom de Chenonceau, j'ai vécu un phénomène extraordinaire . C'était inexpliquable, stupéfiant, incroyable. Aucun mot ne pourrait expliquer ce fait. Ayant des problèmes financiers, je postulai pour le seul magasin de jouets du village, où je fus engagé comme gardien de nuit. Ce jour là, la nuit tomba vite et la pleine lune illumina de toute sa splendeur le magasin et éclaira tous les jouets de la boutique. Mon travail commença à la fermeture de ses portes. Je m'asseillai sur une chaise pour souper. Un silence religieux régnait dans la salle. Un manège miniature qui était posté derrière moi, commença à tournoyer sans que je ne l'allume. Le petit train se mit en mouvement en fumant et les bougies s'allumèrent toutes seules. Leur lueur me donna un sentiment d'angoisse. Une sueur froide coulait dans mon dos et je tremblait comme une feuille. Les soldats de plombs marchait d'un pas cadensé, et, je vis s'avancer la personne la plus étonnante au monde. Celle-ci était magique, ses cheveux étaient mysterieux, ils étaient d'un blond or rayonnant. Son visage brillait et me donnait des frissons. Ses yeux bleus azur transperçaient mon âme et sa peau était d'une paleur étonnante. Jamais, même en rêves, rien d'aussi parfait ne s'était présenté à mes yeux. Elle me tendit sa main, qui était douce et froide comme un flocon de neige, ce qui me glaça. Elle m'embrassa et me donna un baiser. Ai-je perdu la raison? Tout ça est arrivé si vite! Etait-ce un rêve? Je ne pourrai vous dire d'avantage... La femme recula et se volatilisa. Tous les objets se mit à trembler et, soudain, j'éprouvai un malaise horrible. Peu de temps après, je m'évanoui. Le lendemain matin, je me reveillai l'esprit troublé. Je me levai pour ouvrir les portes de la boutique lorseque j'aperçu les bougies fondues et le petit