La Presse

La devise du Figaro est « Sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur », son origine dérive du nom du fameux personnage de la pièce de Beaumarchais,
Le Mariage de Figaro.

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Théophraste Renaudot, fondateur de la publicité et de la presse française par ses deux créations du Bureau d’adresse en 1629 et de La Gazette journal hebdomadaire en 1631.

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La Presse est un quotidien français lancé en 1836 par Emile Girardin. En 1831, il a lancé Le Journal des Connaissances utiles où il donna cette définition de la Presse : « un journal qui occupe parmi les journaux français la place de Times en Angleterre et qui assiste le gouvernement sans être dans la dépendance d’aucun cabinet ».

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Albert Camus fut un journaliste militant engagé dans la Résistance et dans les combats moraux de l'après-guerre. En 1943, il est lecteur chez Gallimard et prend la direction de Combat lorsque Pascal Pia est appelé à d'autres fonctions dans la Résistance. En 1944, il rencontre Jean-Paul Sartre, avec qui il se lie d'amitié. Le 8 août 1945, il est le seul intellectuel occidental à dénoncer l'usage de la bombe atomique deux jours après les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki dans un éditorial resté célèbre, dans Combat.[]

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Kessel fonde en 1928, un hebdomadaire politique et littéraire Le Gringoire ;

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Il a fait partie de Paris-Soir et il devient reporter à La Libération.

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Balzac, journaliste brillant et redouté pour ses critiques féroces et éblouissantes, a tenté de fonder des journaux « intelligents » qui auraient ouverts leurs colonnes à des collaborateurs prestigieux comme Victor Hugo, Théophile Gautier. Il a écrit sa Monographie de la presse parisienne en 1842 contre la presse. C’est une satire qui stigmatise les comportements et les modes de pensée d’une presse trop liée aux intérêts privés de journalistes.

Maupassant commence à fournir des articles à plusieurs journaux