La princesse de Clèves, scène de rencontre
1 : La beauté :
- « On admira sa beauté et sa parure, L5 »
- « Il était difficile de voir Mme de Clèves pour la première fois sans avoir un grand étonnement, L11&12 »
- « Fut tellement surpris de sa beauté, L13 »
- « Il ne put s’empêcher de donner des marques de son admiration, L14 »
2 : La richesse
- « Pour se trouver le soir au bal et au destin royal qui se faisait au Louvres, L4&5 »
- « Le roi lui cria, L8 »
- « Le roi et les reines, L15 »
3 : Une femme mariée avec un autre homme :
- « Elle lui avait donner la curiosité, et même l’impatience de le voir, L3 »
- « Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle, à se parer pour se trouver le soir au bal, L4 »
- « Elle cherchait des yeux quelqu’un qu’elle avait dessein de prendre, L7&8 »
- « Il était difficile de n’être pas surprise de le voir, L10 »
- « Pour moi, madame, (…), je n’ai pas d’incertitudes, L19 »
II : Les dialogues
1 : Mr de Nemours connaît la princesse
- « Pour moi, madame, (…), je n’ai pas d’incertitudes, L19 »
- « Que celles que j’ai pour la reconnaître, L20 »
2 : La princesse feint de ne pas connaître le Duc - « Je crois dit madame la dauphine, qu’elle le sait aussi bien que vous savez le sien, L23 »
- « Que je ne devine pas si bien que vous pensez, L24&25 »
- « A ne pas vouloir avouer que vous le connaissez sans l’avoir jamais vu, L26 »
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Sujet : De quelle manière ces trois textes traitent-ils de scènes traditionnelles du roman ?
Nous allons voir comment les textes, La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, Au château d’Argol de Julien Gracq et Belle du seigneur d’Albert Cohen, traitent-ils de scènes traditionnelles du roman. Dans un premier temps nous allons voir les descriptions et la richesse, et ensuite nous verrons l’amour.
Dans les trois textes, nous trouvons