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La princesse de clèves

1068 mots 5 pages
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MEHANE Christie ; PETIT Camille ; PIERRE-LOUIS Clara
Mercredi 28 Janvier 2015
Lecture Analytique : La Princesse de Clèves

INTRODUCTION : Le XVIIème siècle fut marqué par l’ouverture culturelle grandissant du pays afin de rendre à la France ses lettres de Noblesses au niveau mondiale. Ainsi, dans les années 1660, Mme de La Fayette, auteur ouverte à l’approfondissement des connaissances en tout genre, fréquentera la cour du roi Louis XIV et y « accouchera » de son œuvre majeure : La Princesse de Clèves. Cette femme de lettre s’éloignera du style baroque usuellement populaire, pour s’engager dans une œuvre classique, réaliste et s’attachant, dans l’extrait dont nous disposons tout particulièrement, aux moindres détails de la souffrance amoureuse touchant la princesse de Clèves. En effet, ce passage tiré de l’œuvre de Mme de La Fayette relate la jalousie exprimé par la figure principale du roman lors de la découverte d’une lettre écrite par une femme s’adressant à son amant. Mais comment le sentiment de jalousie sera-t-il vécu par la princesse de Clèves ? De ce fait, pour le découvrir nous verrons comment l’auteur a fait réagir le personnage principal face à ce sentiment à l’aide d’un discours efficace, pour ensuite étudier la mise en valeur des sentiments que l’auteur a volontairement accentuer, pour finir en analysant la notion de la fidélité exprimée dans cet extrait.

PLAN DÉTAILLÉ :
Axe 1. Discours efficace
1.1 Par la présence de phrases longues :
Lignes 1 à 33 « Mme de Clèves […] était trompé. »
Lignes 33 à54 « Elle avait ignoré […] fausse lettre du vidame. » Dans ces deux paragraphes partiellement longs, Mme de La Fayette essaye d’amplifier la souffrance de la princesse de Clèves, afin de montrer la gravité de la situation et de nous faire vivre cela en même temps que le personnage concerné.
Ce texte étant un texte narratif, alors il y a une absence de dialogue.

1.2 Par ailleurs,

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