La prostitution des étudiants
La prostitution est "le plus vieux métier du monde" qui consiste à échanger des relations sexuelles contre une rémunération.
La prostitution est un acte par lequel une personne consent à des rapports sexuels contre de l’argent.
Dans la notion de prostitution il y a trois critères distinctifs : - le contact sexuel - la rémunération - la nature répétée ou habituelle de l’activité
Fournir une évaluation quantitative précise du phénomène prostitutionnel aujourd’hui en France est un exercice périlleux. En effet, il n’existe pas une forme unique de prostitution, mais des pratiques prostitutionnelles diverses, allant de la prostitution de rue à la prostitution par Internet, exercée de façon continue ou au contraire occasionnelle. Les contours de la prostitution sont donc relativement flous, étant donné qu’il n’existe pas de définition précise de la prostitution. Un certain nombre de pratiques, notamment la prostitution occasionnelle ou les « attitudes prostitutionnelles »[1], sont à la marge de cette notion, ce qui les rend difficiles à appréhender de façon chiffrée.
Parmi les changements apparus cette dernière décennie, on note une augmentation sensible : - de la « prostitution étudiante » - des prostitué(e)s étrangér(e)s, spécialement en provenance des pays de l’Est, des Balkans et des pays de l’Afrique - les personnes transgenres exercent principalement dans les bois de Boulogne. Elles sont surtout d’origine sud-américaine, africaine et roumaine. - de la prostitution occasionnelle et difficile à repérer.
Depuis le vote de la loi dite « LSI ou Sarkozy », du 18 Mars 2003, portant sur la sécurité intérieure, la prostitution, en général, est devenue un thème récurrent qui soudain fait débat. L’une des mesures qui a suscité le plus de réactions et la plus innovante est en effet la répression du « racolage passif », c'est-à-dire de la présence de prostitué(e)s sur la voie publique.
Le sujet de la