La rencontre
Texte 1 L’incipit.
Texte 2 La rencontre au bal.
Texte 3 L’introspection.
Texte 4 Les barricades.
« Demeura seule » Intimité des sentiments.
« Sitôt » immédiateté.
« Qu’elle ne fut plus soutenue » elle reconnaît l’amour qu’elle lui porte.
« Ce que l’on aime » généralisation caractéristique du classicisme.
« Comme d’un songe » elle ne sais pas le vivre en réalité, elle l’idéalise.
4 pauses :
« Regarda » elle s’analyse, elle sait prendre du recul sur elle même, elle est étonnée « étonnement ».
« Prodigieuse » hyperbole ; l’amour est capable de faire des miracles. Mot fort, but de l’œuvre : attention de ne pas se laisser submerger pas les sentiments.
Constate avec effarement les différences.
« état » avant elle était jalouse. maintenant elle a compris qu’elle était trompé.
« Elle se remit... » elle revit la scène, elle veut comprendre.
« Aigreur et la froideur » « calme et douceur ». « Paraître »
« Sitôt » force miraculeuse de l’amour, état opposés d’un coup.
Phrase 2 Toujours dans la rétroactivité.
« Quand elle pensait » on est dans sa tête : Chute importante.
« Elle ne se reconnaissait plus elle-même ». Condamnation classique Schéma du héros qui doit savoir se tenir. C’est une héroïne tragique classique.
Phrase 3 : Rongée par le poids de la culpabilité : elle se reproche tout alors qu’on ne peut rien lui reprocher Fatalité de l’héroïne tragique. L’amour est coupable.
Non seulement elle trahit le mari qui « ... », mais en plus elle donne une image d’elle négative à son amour.
Phrase 4 : « Mais » connecteur logique d’opposition.
On passe du rationnel au sentiment. C’est cette jalousie qui la gêne le plus.
« Trompée » « le mari trompé ».
Phrase 5 : la jalousie : « les inquiétudes mortelles » le mari va en mourir.
Idéalisation classique elle découvre à la fois le bonheur fou de l’amour mais aussi sa douleur.
Au fond elle a ne vision très négative de