L’HOMEOSTASIE

L’homéostasie se définit comme la capacité de l’organisme à maintenir un état de stabilité relative des différentes composantes de son milieu interne malgré les changements constants de son environnement.
Homéo : mm
Stasie : position.

• Equilibre dynamique : variations autour de certaines limites qui permettent la survie des cellules. • Image du funambule.

Historique : terme introduit en biologie par Claude Bernard début du 20ème siècle.

L’homéostasie existe quand le milieu interne contient la concentration optimale en gaz, ions, eau, nutriments, à une température optimale, et à une pression optimale pour le développement des cellules.

Si l’homéostasie est perturbée, et si les liquides intracellulaires et/ou extracellulaire ne sont pas rééquilibrés, la maladie apparait pouvant aller jusqu’à la mort.
Ex du travail musculaire : chaleur et acide lactique.

L’homéostasie est perturbé par le stress interne (mange on apporte du sucre dans l’organisme, il faut un mécanisme pour régulariser la hausse du sucre dans le sang) ou externe (en montagne) de l’organisme.

Les mécanismes régulateurs de l’homéostasie sont le plus souvent liés au système nerveux et au système endocrinien.

L’homéostasie de glycémie : • Taux de glucose sanguin (glycémie) stable autour de 1g/l ou 5,5 mm/l • Deux hormones pancréatiques régulent la glycémie : l’insuline et le glucagon.

L’homéostasie du glucose : • Les centres encéphalique glycosensible stimule la pancréas par l’intermédiaire des nerfs pneumogastrique. • Les cellules des ilots de Langhérans sont directement excitées par les variations de la glycémie.

Si l’hyperglycémie : • Sécrétion d’insuline • Augmentation des stocks de glucose dans le foie et les muscles (glycogène) • Augmentation du catabolisme glucidique cellulaire • Diminution du catabolisme lipidique et synthèse de graisse • Augmentation de l’anabolisme protidique.

Si la glycémie