La tolerance
Il en est de même de notre race.
Nous avons oublié que nous avions de la Famille aux antipodes. Et pourtant leur sang est semblable au nôtre et seul le soleil a changé leur peau. L’évolution de leur mode de vie a été différente de la nôtre. Tout nous a différencié. Seule notre constitution rappelle notre communauté. Isolés dans des régions disséminées, les siècles nous ont séparés.
Le temps a aujourd’hui réparé ces erreurs. Il nous permet de nous retrouver.
A nous maintenant de nous reconnaître et cessons de penser que notre venue va leur apporter le bien-être de notre civilisation.
Nous avons tout à apprendre l’un de l’autre.
Tout cela ne pourra se faire qu’en dehors de toutes idées préconçues. Hors de toutes pressions dogmatiques.
Comment aller vers l’autre bien ancré dans ses croyances sans être considéré comme un prédateur mais comme un Ami?
La thématique de philosophes d’aujourd’hui parle de « conflits de civilisations ».
Jean-François Revel nous dit : « Les échanges entre civilisations ne sont féconds pour toutes qu’à la condition qu’aucune d’entre elles ne cherche à propager chez les autres une quelconque foi religieuse ou politique. Le communisme fut une foi politique encore plus répressive que ne l’avaient été les fois religieuses en leurs pires excès.
Seule la liberté peut transformer les conflits en coopération et en fécondation réciproques. C’est pourquoi l’histoire nous montre, depuis des milliers d’années, de nombreuses sociétés qui sont multiculturelles, pour le plus grand bien des civilisations qui les composent. »
Mais les violences auxquelles nous assistons par chance à distance depuis notre Suisse, sont-elles le résultat d’un refus ou d’incapacité d’évolution de certaines croyances?
Si je limite ma réflexion aux simples