La tête et la queue du serpent, commentaire.
Dans la fable de La fontaine nous remarquons une personnification des «différentes parties du serpent». En effet, l’auteur utilise de nombreux verbes d’actions pour faire vivre ses personnages. On peut relever les différent verbes liés aux cinq sens à la ligne 10 le verbe « se plaignit », c’est un verbe qui est utiliser par les hommes, les animaux ne se peuvent se plaindre par des mots, tout comme le verbe « dit » L.12 utiliser par les hommes qui sont les seuls être humains détenteur de la paroles. La Queue exprime son mécontentement d’être toujours la suiveuse, seul les possesseurs de la parole sont dans la capacité de faire un monologue. On relève aussi le verbe « voyait » qui n’est explicité que par l’humain, les animaux voient mais ne peuvent exprimer ce qu’ils perçoivent. Ensuite il y a un verbe d’action comme « donnait » l.34 effectif grâce au pouce opposable dont les humains sont les seuls à posséder cette caractéristique. A la ligne 9 il y a le verbe « marché », un serpent ne marche pas dans le sens ou il n’a ni de jambes, ni de pattes, comme