La valeur et répartition chez les classiques
Chapitre 1 : La pensée Classique.
Avant les classiques il avait d’autre courant qu’il apparait essentiel de les étudiés, il s’agit du courant <<Mercantiliste>> le terme de ce courant de pensée donne une valeur a la matière, et pour eux toute est liée à la richesse en métaux précieux ( un pays est riche en fonction de stock d’or qu’il détient ) en pensant au développement de cette richesse ce courant propose deux solution la 1ère c’est en répondant a la question – comment peut-on augmenté notre stock d’or ?- il y’avait une seule solution dans ce cas c’est en adoptant une politique de protectionnisme ( exporté plus que importé ) c’est presque une politique défensive, en ce qui concerne la 2ème solution c’est on adoptant une politique offensive a fin d’exporter des produits de forte valeur ajoutée c’est l’industrialisation et l’exportation . Pour eux ils conçoivent le système économique comme un jeu a somme nulle c’est-à-dire qu’il n’arrive pas à assurer l’intérêt du peuple mais tant que chacun cherche son intérêt individuel cela va surement générer un intérêt général.
En ce qui concerne le 2ème c’est le courant <<Physiocrate >>c’est un courant de pensée qui est très limité dans le temps et même dans l’espace (uniquement en France) ce terme Physiocrate ça vient du physique (Nature) donc pour eux la richesse de la nation ou du pays c’est la richesse de tous ses Habitants et non pas seulement de l’Etat, cette richesse est formée de tous les biens qui vont satisfaire un besoins et non pas de métaux précieux qu’il faudrait thésaurisé donc tout simplement pour les physiocrates la nature (la terre en particulier) et la source de la valeur et l’économie n’est pas l’affaire du prince, l’organisation économique est réglée par des mécanisme non pas par l’arbitrage des gouvernements, ainsi que l’industrialisation et le commerce pour eux sont des activités stériles car elle ne font que transformer la matière 1ère