La vérité, dépend-elle de nous ? Le sujet de la vérité, est un sujet que les philosophes traitent depuis des milliainaire. En effet la vérité peut être vu de plusieurs manière par les Hommes. Tous d’abord il a le sens d’adéquation entre la pensée de quelqu’un et la réalité, entre la représentation et la réalité. Cependant il ne faut pas aussi confondre le sens précis de la vérité et l’usage commun des « vérités » considérées comme des connaissances vraies. Le sens du therme de vérité peut varié selon l’individu qui peut être un Homme aussi bien qu’un groupe d’Homme ou un homme doué en raisonement c’est-a-dire un philosophe ou bien un scientifique. La vérité est-elle singulière, particulière, générale ou universelle ? On répondera à la problématique dans un plan a 2 point ou l’on traitera d’abord l’idée d’appertenance de la vérité a l’Homme, en tant qu’individu et on finira avec l’idée d’accesibilité de la vérité si elle n’appartient a un individu. Face à la diversité du réel nous sommes souvent tentés de prétendre que la réalité est changeante, provisoire et particulière de sorte que la vérité est relative à chacun de nous. Tel est le point de vue des sophistes dans l’Antiquité. Ils entendent par cette formule que la réalité dépend de l’appréhension de chaque individu. Le présupposé de ce jugement est que la réalité est essentiellement sensible. La raison n’est plus alors ici que l’outil des opinions qui conviennent à nos intérêts pour persuader les autres des opinions qui nous sont utiles. La réalité étant particulière ou singulière, la vérité n’est plus que le jouet de l’Homme dans sa subjectivité. A ce point là, la vérité n’est pas à découvrir mais une opinion à construire et à imposer. Or les opinions sont diverses, elles sont par ailleurs changeantes comme mon humeur ou mes intérêts de sorte que le sophiste doit se faire fort de soutenir n’importe quel point de vue sur n’importe quel sujet. Le critère de la vérité est ici le succès de