Théories libérales du libre-échange
Deux problèmes posés par la réalité, soit on l’oppose à l’erreur, soit on l’oppose au mensonge.
Celui qui est dans l’erreur ignore la vérité mais celui qui ment trompe les autres
Cela pose 2 questions : - 1er cas il s’agit de savoir comment faire pour connaître le vrai ? * 2ème cas : Est-ce qu’il est juste de dire tout le temps la réalité ?
1- La vérité face à la réalité A- Le vrai est-il réel ?
Quand nous recherchons la vérité, nous tentons d’être en accord avec le réel, par exemple : si je dis « il pleut » on s’attend à ce qu’il pleut ou c’est le contraire on ne voit pas la pluie tomber soit elle est fausse, illusoire ou mensongère ?
Donc s’affirmer qu’une proposition est vraie c’est dire qu’elle conforme à la réalité (qu’elle est vraie)
Mais le vrai n’est pas le réel, par exemple : une pomme est réelle, elle n’est ni vraie, ni fausse par contraire « cette pomme est verte » peut être vraie ou faux, ce qui peut être vrai : les propositions, les idées, les hypothèses, les pensées.
Tout dépend de l’objet considéré et du système de référence.
2ème définition de vrai : la notion de vrai renvoie à une façon de dire et d’interpréter la réalité
Il ne suffit pas de bien percevoir pour atteindre le vrai, montrer n’est pas démontrer car les faits ne s’imposent pas d’eux-mêmes
Nous pourrons bien percevoir une réalité, mais pourtant tromper sur la nature de ce que nous percevons. Nous savons que de décrire les dimensions, les couleurs d’un paysage peuvent être modifiées par un reflet ou des effets de perspective. Donc le fait immédiat donner dans la perception n’est pas de même nature que le fait scientifique.
Ainsi, le fait de pesanteur n’a pas été révélé par l’observation immédiate du réel. Longtemps on a cru que la pierre étant lourde tombait vers le bar et la fumée étant légère montait vers le haut, exemple : On a appris la pesanteur en faisant des expériences sur le poids.
La pesanteur a été évidente (par exemple