La vie absurde
Si nous partons de l’idée que la propre existence est absurde, un caprice de la destination sans plus sens que notre propre être, ne devrait pas nous étonner beaucoup que comme cela soyez. Quelque chose d’absurde est irrationnel, quelque chose qui manque de tout sens d’existence, quelque chose que par soi même n’est pas orienté vers aucune fin particulière, ni il a majeure transcendance que les mensonges.
Notre vie dans son essence, un absurde que nous peine un et autre fois á l’ennui.
Nous cherchons avec impatience nous échapper de semblable chaîne, qui nous réduit en esclavage y nous empêche d’avancer, mais par plus que nous l’essayons, par plus que nous le cherchions, à la fin nous retournons toujours au même point, à la fin nous finissons toujours à nous poser jusqu’au quel point, il mérite la peine ce que nos fassions.
Notre vie est : un absurde complet, et est absurde absurde parce qu’elle est fugace, et dedans cette fugacité de chaque moment, il s’enferme un complet sens. Nous profitons les choses par un instant très concrets, et nous la rappelons beaucoup de fois comme nous voulons ou nous pouvons, mais à la fin, tout ce qui ne soit propre de cette existence, la propre réalité d’être, est un absurde sans sens qui ne nous apporte pas absolument rien comme être existentielle.
La connaissance est absurde, l’expérience est absurde, la pensée est rationnel, de tout ce qui existe, c’est le plus absurde qu’il ait. Nous existons pour vivre, et nous vivons pour exister et dedans cette dualité, nous nous effondrons plus et plus dans l’absurde. Rien à un sens en soi même, rien est transcendent comme pour la proportionner un plaisir éternel et invariable pour ce qui mérite la peine vivre chaque jour, se lever chaque matin. Nous sommes condamnés a nous poser des questions chaque jour, chaque nuit, les événements qui nous entourent : ce qui nous sommes en train de vivre, ce que nous avons déjà habité y ce qui sons à l’avenir. Seulement comme