Tout à commencer par des regards, des sourires... Tu sais dans cette fameuse école , on était assis sur ces marches là, on se regardait puis on riais, pourquoi ? Je n'ai pas la raison. Puis quelques mots échangés, des rires partagés. On ne se regarde pas, on se dévore. On plaît, et on en profite. Puis "juste pour rire" on s'envoient des messages. On se cherche. On se revoie et on se trouve... On fait ça pour s'amuser. Mais à un moment on se rend compte que des véritables sentiments sont en jeu. Je trouvais ça fou d'aimer une personne à ce point, et de pas savoir comment lui montrer.
Je repense sans cesse à tout ce que tu me disais, à ce que tu me promettais.. On parlait toujours de notre avenir, et tu disais que tu n'imaginais pas le tien sans moi.. Tu t'en souviens? C’était dans ce fameux train, tu me disais tellement de chose, ma tête sur ton épaule j'aurais pu rester comme ça des jours, des mois, je me sentais tellement bien ... J'en souffre, je souffre de ces mots que tu me murmurais, ces mots auquel je croyais et peut être bien que tu ne pensais pas. C'est dure de voir à quel point les choses peuvent changer en si peu de temps, de voir à quel point je suis dépendante de toi. Je ne sais plus qui je suis, ni même ce que je fais ici sans toi. J'ai froid et seul tes bras peuvent me réchauffer. Malgré tout je continu à y croire. Certain diront que je suis bête et bien trop naïve ; C'est peut être vrai, mais personne ne sait vraiment ce qu'on a vécu tout les deux, ce qu'on a partagé et à quel point on s'est aimés... Une partie de moi-même continuera de t'aimer tout ma vie, c'est certain.
J'ai envie de hurler à quel point tu me manques et à quel point j'ai mal. Mais tu vois je te sourie comme si moi aussi je m'en étais remise. Pourtant c'est faux, complètement faux. C'est à toi que je pense dès que je me réveille, c'est nos chansons que j'écoute en boucle, nos photos que je regarde le cœur serré, ta voix que j'aimerai entendre avant de dormir et c'est ton corps