la vie
La pitié ( reconnaissance de l’autre en nous)
Il a vécu dans l’époque moderne
La pitié c’est bien, car sans pitié, on fait du mal aux autres. Avec la pitié, on se met à la place de la personne qui souffre, et on imagine que cela arrive à nous. Donc, on souffre aussi.
« Avoir pitié de » = « Souffrir avec »
Prouve que l’homme peut ressentir. Il a de la morale.
Pousse l’homme à agir selon la justice
Permet l`union des hommes et la collaboration entre eux.
Elle est à l’origine de l’union des hommes
Elle modère l’amour de soi.
De la pitié viennent les autres vertus : générosité, l`humanité, la clémence …
Sentiment naturel de l’homme, c’est pour cela qu’elle précède la réflexion
Pitié nécessite de l’imagination, car pour avoir pitié, il faut se mettre à la place de l’autre
= Conservation des espèces
La souffrance d`autrui fait sentir l`un supérieur à l’autre, car lui a mal, mais pas moi. Sa faiblesse démontre ma force.
Ce qui a rassembler les hommes, c’est la pénurie de l’abondance.
http://www.archipel.uqam.ca/987/1/M10258.pdf p.63 http://www.cosmovisions.com/Nietzsche.htm Friedrich Nietzsche
Début : opposition aux valeurs chrétiennes, Arthur Schopenhauer le premier à avoir pensé qu’il y a une force obscure
L’humain
Il y a la morale du maitre et celle de l’esclave.
Pour améliorer le monde, il faut créer de nouvelles perspectives et de nouvelles valeurs.
Préconise le respect des autres : la discrétion. C’est-à-dire ne pas rabaisser les autres sans aucune raison.
Glorifie le courage.
Il faut une hiérarchie et de l’autorité dans une société
Supporter la solitude et savoir l’utiliser à son avantage est une vertu
Critique les valeurs chrétiennes
La morale du maitre, l’aristocrate
Sans conscience ou culture
Volonté de puissance qui vise à contrôler et dominer les autres
Amour-propre
Fierté de son mérite
Générosité à partager son savoir, sa sagesse avec les autres
Être et paraitre