Il arrive un temps où nous nageons dans la lave ardente, que nous volons avec des ailes brisées, que nous respirons le doux parfum du poisson et que nous marchons sur une terre qui est amenée a disparaitre. Est-ce ça la vie ? Contempler le mal qui s’abat sur nous et donc nous sommes les principaux fautifs ? A chaque minute, chaque seconde, chaque instant, des innocents ferment les yeux et sont plongés dans une obscurité sans limite, alors que des pêcheurs restent debout, veillant, droit comme la justice, observant avec un orgueil méprisant ce monde irrationnel.. Ne dit on pas que la vie est faite de haut et de bas ? Je commence a en douter, j’ai trop creusé pour un jour espérer apercevoir la lueur du ciel. Prétextons nous que la vie soit juste ? J’en suis perplexe.. J’ai trop vu d’injustice dans ce monde pour croire que tout cela soit normal et que ça suit l’ordre de la nature. Au fond, l’Homme est aveuglé par sa doctrine qu’il ose nommer « L’Humanité », il pense que c’est elle qui guide sa vie et son destin. Mais il se trompe, L’Homme comme tout autre être vivant est régit par une force qui le dépasse, une force inexpliquée qui se joue de lui, aime le faire souffrir, le voir espérer, croire en elle, la détester, l’oublier et lui volait son existence. Nous savons tous que cette force existe, nous en sommes conscient dans une petite part de notre âme mais chacun de nous tente de l’oublier afin de mieux sourire hypocritement au nouveau jour qui nous fais face. J’écris peut être cela dans un moment peu propice aux questionnements métaphysiques, peut-être que vous êtes en train de lire ceci dans les bras de votre cher et tendre, alors a ce moment précis, regardez le, non mieux que ça, regardez ce regard qui vous a fait fondre la première fois, regarder ses prunelles qui jouent une douce danse poétique, regardez le et demandez vous qu’est ce que serait le futur sans lui, sans ses bras réconfortant semblables a une peluche, que serait la vie sans ce sourire