La volonté de puissance
Friedrich Nietzsche fut un Philosophe qui vécurent dans la seconde partie du 19e siècle, il se défendait d’être un esprit libre de toute forme d’autorité puisqu’il fut indépendant de fortune tôt dans sa vie, il marqua considérablement la vision de l’homme que nous avons aujourd’hui. En effet il avança plusieurs concepts avant-gardismes comme celui de l’instinct de vie que Freud développa d’avantage plus tard par le concept de pulsions, il réussit même à visualiser le mode de réflexion que les hommes possèdent aujourd’hui, soit qu’il arriverait à vivre leur vie comme ils le veulent, une réalité plus tôt complexe à saisir pour cette époque, il qualifia cette homme de surhomme. Par contre, il sous-entend que ce qui conceptualise de la moral, freine l’évolution de l’homme vers le surhomme, alors comment somme nous arrivé à ce concept dont Nietzche rêvait? De plus, sommes-nous réellement arrivé à ce concept, ce que Maurice Merleau-Ponty avance par rapport à l’interaction entre l’individu serait peut-être le seul élément qui bloquerait encore la volonté de puissance d’un homme.
En effet, Nietzche explique que la morale de l’époque entretient un mépris de la volonté de puissance, propre au « dominateur », dans le but de protéger l’homme contre le désespoir causé par l’impuissance face à un autre homme , donc un homme faisant partie de la classe des oppressés ne serait pas tenté de changer de camps, car les valeur qui lui ont été inculpées par cette même morale étaient de se soumettre et d’accepté l’autorité. Donc, le mépris de cette volonté de puissance vient de la volonté de puissance elle-même que la classe « dominatrice » à inculpé à la classe oppresser dans le but de maintenir l’autorité, bref la moral transmet les valeur qui insiste sur la distinction entre deux classes l’une transmet des valeur de volonté de puissance et l’autre celle de mépriser celle-ci