La vérité de la religion (philosophie)
Selon moi, le discours religieux est un exemple flagrant de manque d’information. Pour répondre à ce manque d’information, certains être ont inventés des fables pour combler ce besoin. Donc, sortant de l’imaginaire collectif et/ou de celui d’une seule personne par religion, j’ai pour mon dire que celui-ci est porteur, non de vérité mais bien de mensonge. Pour appuyer mon opinion, nous remarquons l’existence de plusieurs discours religieux différents racontant tous leur propre version des faits, dîtes vérités, et se nomment religion absolue. Puisque chaque discours se proclame lui-même unique vérité, c’est donc entendre qu’un seul pourrait avoir raison ou que tous ont tort.
On remarque aussi des similitudes dans les différents discours, telle l’histoire de Mithra, un dieu Persique né d’une vierge le 25 Décembre du 6e siècle av. J-C devant des bergers et des mages guidés par une étoile filante vers le lieu de sa naissance. Il fût reconnu comme étant « la lumière », « le bon berger » et « le fils de du dieu suprême ». On disait de lui qu’il pouvait ranimer les morts, éloigner les démons, guérir les aveugles, les paralysés et les malades. Il fût sacrifié à l’équinoxe du printemps (Attis en est aussi un exemple) (Pâques) et ressuscita après trois jours et fit son ascension au paradis (mot d’origine persique. Son dernier souper fût célébré en la compagnie de ses 12 disciples (pour représenter les 12 signes du zodiaque). En sa mémoire, ses fidèles « mangent » leur dieu sous forme de pain et d’hosties (tout comme ceux d’Osiris, Adonis et Dionysos) bénis par la croix, un symbole emprunté à un autre Dieu, Tammuz. Ceux qui priaient Mithra croyaient aussi au jugement dernier lorsque les pécheurs et les « non-baptisés » seraient emportés dans les ténèbres. Cette histoire concorde presque parfaitement avec celle de Jésus dans la religion chrétienne. C’est dû à l’importance des symboles dans cette histoire