La fille aux yeux d'or, balzac, balzac
Peut prendre la forme d’un choc a. Choc de nouveauté, expérience indirecte du lecteur projeté dans Paris. b. Choc émotionnel, rencontre avec Paquita c. Choc violent, fin du livre2. Ne prend pas la forme de choc à d’autres échelles a. Pour le lecteur, en effet c’est une œuvre fictive b. Les évènements sont prévisibles, jeune homme inaccessible qui n’aime qu’une femme avec qui s’est compliqué c. Indifférence à l’expérience urbaine qui ne refléterai donc pas le choc dont Balzac parle lorsqu’il fait un portrait de la ville Attention à ce que les arguments ne se rejoignent pas.On se demande dans quelle mesure la notion du choc domine la dimension de Paris tant au niveau du personnage que du lecteur. Pourquoi est-ce qu’il y a une multitude de chocs chez Balzac et est-ce qu’il s’appuie sur une certaine esthétique pour ce qu’il veut illustrer ?Annonce du plan : 1. Paris serait placée exclusivement sous le signe du choc. Récit fait pour …afficher plus de contenu…
Paquita est à l’image de l’expérience parisienne ; haute en couleur.Deux couleurs sous le signe desquelles Balzac place le texte : le sang et l’or. Cela peut être raccroché au tableau d’Eugène Delacroix. La marquise de San Real est une sorte de Sardanapale, elle tue ce qu’elle aime pour ne pas le laisser à d’autres.Troisième sous-parties, on peut souligner que Balzac lui-même par la dramatisation du récit, développe une esthétique du choc. Cette esthétique qui consiste à faire réagir le lecteur est visible dès les premières pages lorsqu’il fait la description du paysage parisien, il propose déjà une représentation violente et critique vis-à-vis de la société contemporaine. Balzac ne ménage pas son lecteur en lui imposant de longues digressions. Bouleverse donc les habitudes du lecteur également. Ouverture : on peut s’interroger sur le caractère unilatéral de cette présentation. 2.Il faut