La liberté est-elle une réalité?

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A la gloire du GADLU, sous les Auspices de la GLUM, VM et vous tous mes FF :. En vos grades et qualité« La liberté sans le civisme, la liberté sans la capacité de vivre en paix n’est absolument pas la vraie liberté »Nelson Mandala dira après sa libération « nous ne sommes pas libre, nous avons seulement atteint la liberté d’être libre » qui est une autre formulation de sa citation. La liberté est une notion relative et, pour qu’elle soit une réalité, deux prérequis sont nécessaires selon N.M : …afficher plus de contenu…

La résultante des forces qui interagissent dans l’univers est créatrice et destructrice (Thanatos). Chaque destruction et mort sont irrémédiablement suivies d’un changement, d’une mutation, d’un réassemblage, d’une évolution mue par l’élan vital cher à Bergson. Notre obsolescence est programmée et encodée dans notre ADN. La nature fait inlassablement du recyclage. Si Dieu ne joue pas aux dés, ce cycle perpétuel est donc la normalité et cette réalité nous semble absurde selon Albert Camus. L’homme est condamné à mort mais il ne sait pas pourquoi, d’autant plus que cela va à l’encontre du principe vital d’autoconservation et de la persévérance dans l’être. L’émotionnel étant l’une des expressions des êtres évolués, les incompréhensions de l’affect de l’homme devant la souffrance et la mort paraissent légitimes. …afficher plus de contenu…

Les conflits sont le plus souvent motivés par la prédation qui est on ne peut plus normale chez l’animal qui répond à l’instinct de survie. C’est le cerveau primitif et reptilien qui est à l’œuvre. Mais l’homme, fort de son cerveau limbique et du néocortex se dit doté de conscience et se targue d’être intelligent et supérieur. Cette guerre pour la survie nous pouvons aisément la comprendre quand les premières strates de la pyramide de Maslow ne sont pas satisfaites. Or, chez l’homme repu, à ses besoins vitaux se rajoute la cupidité le gout du pouvoir et tous les métaux qui occultent notre besoin profond d’accomplissement spirituel. Avons-nous peur de manquer, tel l’écureuil et la cigale qui font leur réserve pour l’hiver ou l’ours polaire qui se gave avant de jeuner pendant des mois ? Est-ce encore notre instinct primitif qui domine ? Une moelle épinière nous suffirait-elle

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