1. Expliquer en quoi la théorie des idées de Platon reprend des éléments fondamentaux de la pensée de Parménide ( Introduction à la théorie des Idées , J. Grondin) et de Pythagore ( Doctrine de Pythagore sur les nombres , Porphyre). Environ 7 à 10 lignes Un élément fondamental que la pensée de Parménide et de Pythagore ont en commun est l’intelligence. Du coté de Parménide il …afficher plus de contenu…

Pourquoi on ne peut pas les concevoir? Car il nous manque une troisième source, la vue en est une, l’objet est la deuxième source mais la troisième qui est manquante est la lumière. Grâce à la lumière, notre cerveau peut voir les objets, les analyser et les comprendre. Sans celle-ci, on voit que des ombres qui peuvent définir autres choses dans notre tête. Une fois que la lumière rentre en jeu, on comprend réellement ce qu’on voyait au début et ce n’est plus une illusion. 5. Dans le Lachès, nous avons vu que l’on peut participer des idées sans toutefois clairement les concevoir. Quelqu’un peut très bien accomplir des actes courageux sans être en mesure de définir dans un discours ce qu’est le courage. Donnez deux exemples de participation aux Idées, l’un sur le plan de l’extériorité physique, le domaine des corps sensibles, …afficher plus de contenu…

(8 points/20 c’est sûr qu’il sera dans l’exam)Dans la première définition du courage donnée par Lachès, il explique que le courage en lui donnant une description d’un comportement. C’est une définition qu’il a développer grâce à son expérience qu’il a dans l’armée grec, ce n’est pas une définition conceptuelle mais une définition descriptive. Il dit que « quand on accepte de rester dans le rang et de repousser l’ennemi, au lieu de prendre la fuite devant lui, alors, sache-le bien, on ne peut manquer d’être un homme courageux. » (191a) Alors selon lui, le courage est quelqu’un qui ne fuit pas lors d’un combat. La deuxième définition du courage est un état d’esprit, une position intérieure. C’est une fermeté de notre âme. On peut la définir par une façon de pensée qui est belle, Lachès voit le courage comme une beauté sans égale. Toutefois, Lachès n’a pas une bonne définition de celle-ci. Il n’a pas pensé à la fermeté réfléchie et