L'affaire dreyfus et ses sources
Mais après deux ans sous silence, les journaux relancent l’affaire le 14 septembre 1896 avec la publication des fausses preuves fournies par l’État Major, l’avocat de Dreyfus, peut alors entreprendre de démontrer l’innocence du capitaine avec la publication du fameux bordereau et donc tenter de prouver que ce n’est pas Dreyfus qui l’a écrit mais bien Esterhazy. Cependant, ce dernier est traduit en conseil de guerre puis blanchit par l’état major qui l’acquitte le 11 janvier