L'albatros - baudelaire - les fleurs du mal
Albatros en harmonie avec leur milieu naturel = la mer. Vaste est différent de gouffres amers = Baudelaire joue avec un topos littéraire. Allitération en s et en l = imite le vol de l’oiseau. Allitération en r = grouffres amers chute. La lecture suit le vol de l’oiseau. 2ème …afficher plus de contenu…
« P/p » = allégorie pour représenter que le poète est un personnage qui traverse les siècles. Le poème se termine au présent de vérité générale pour des actions vraies en tout temps. « rois de l’azur »/ »prince des nuées » termes forts mais abstraits, poète cherche donc de la beauté et de l’imagination. Allitération en r = l’orage qui gronde et qui accompagne la tempête. Métaphore filée, il insiste sur les ailes de l’oiseau, montre le talent et l’imagination du poète. Basculement : « tempête » devient « le sol » ; « nuées » deviennent les « huées » avec la paronomase (proximité sonore). Le rire de l’albatros devient le rire des matelots. Les derniers vers rejouent symboliquement tout le poème en raccourcis. Le poète et l’albatros hantent la tempête, mot poète et tempête riment entre eux = révélation baudelairienne de la beauté, elle se trouve dans les lieux les + tourmentés. « archer » = hostilité très forte du public.