Lamartine
La solitude du poète romantique devant le tableau du monde
1- Les deux éléments essentiels que propose la présentation du tableau ici sont: "Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne"l.1 ainsi que "Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes" l.5. L'ambiance environnante décrite ici ce déroule "au coucher du soleil" l.2. Je suppose que choix on été fait de manière a encrer le lecteur dans un paysage lui étant familier. Dans cette description, l'image d'un homme auprès d'un chêne donne un point de vue limité pour les branches de l'arbre. L'emplacement du locuteur est placé sur une colline surplombant le long fleuve qui serpente le val. 2-Lamartine exprime son indifférence par rapport au monde qui l'entoure en disant "tristement je m'assieds" l.1, mais aussi dans les vers 17 et 18: "mais à ces doux tableaux mon âme indifférente n'éprouvent devant eux ni charme, ni transports", lorsqu'il effectue cette légère anaphore sur le "ni". Lamartine démontre qu'il ne trouve aucun transports dans le paysage qu'il lui est imposé, cependant il affirme vouloir voyager à travers cette nature au vers 28 lorsqu'il dit : "emportez-moi comme elle, orageux aquilons".
L'aspiration à un ailleurs
3- Certains éléments du paysage forment un appel vers un ailleurs, l'auteur fait allusion à "un lointain obscure" en décrivant le fleuve aux vagues écumantes. Un espace inconnue qui semble redouter dans un premier temps. Il poursuit à la ligne 23
"Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore ? Il n'est rien de commun entre la terre et moi."
Lamartine souhaite donc quitter ça terre qui lui semble si différente de lui. Il va même jusqu'a la qualifier de "terre d'exil" comme si le fait d'y être lui était affligé. Le poète associe sa destinée a un élément de la nature lorsqu'il ce compare à une "feuille des bois" dans la dernière strophe. "…" Le locuteur ce trouve au pied d'un arbre et s'identifie au feuille emportées