Laveur de visage
La pièce que nous avons vu a pour nom Le laveur de visage, de Fabrice Melquiot datant du XXIème siècle. Cette œuvre a été mise en scène par Vincent Goethals. Il n'y a qu'un seul acteur sur scène, c'est un monologue. Samuel Simorgh nous raconte sa vie, son échec, son désir d'avoir une personne à qui parler. Il était trader, il était acheteur et vendeur. Il menait bien sa vie. Après avoir rêvé d'engoulevents, qui est un mauvais signe selon son magnétiseur, il est voué à l'échec, maintenant il ne travail plus. Il passe son temps à voler des voitures à les chouchouter puis les remettre à leur place, pour se nourrir du bonheur qu'aurait leur propriétaire en les voyant, d'où le titre « Le laveur de visage ».
D'après son magnétiseur c'est aussi le commencement d'une nouvelle vie. Il lui demande de se trouver un interlocuteur, qui n'est autre que nous. On remarque aussi qu'il manipule Samuel, à chaque séances il demande 100euros. Ce n'est qu'un charlatant et Sam a l'air de trouver ça normal.
L'espace scénique est imaginaire, on devine où se trouve l'acteur en l'écoutant.
Tout au long de la pièce, la scène se transforme, en maison, en grotte.
On voit le décor se transformer, grâce à une craie l'acteur dessine une maison en forme de voiture, puis avec une serpillière il efface les traits, on voit apparaître une voiture, qui disparaît petit à petit, cela nous fait penser à un vole qu'aurai bien pu commettre Samuel.
Les lumières sont focalisées sur l'acteur. Quand Samuel visite la grotte il utilise une lampe pour s'éclairer, pour qu'il y ai un effet de réalisme. À un autre moment la lumière est focalisé sur une parti de son visage, on pourrait croire qu'il ne reste que ça après ses quelques aventures, c'est un projet de peur.
Au début de la pièce, Samuel est allongé sur un lit (canapé), il y a une vieille musique de fond (qui n'est pas jouée sur scène).
Samuel découvre différents objets à sa porte, la musique est très